La bataille politique qui s’annonce dans la Commune de Diama semble déjà marquée par un acteur central : la Grande Coalition, présentée par ses initiateurs comme la seule alternative sérieuse face au maire sortant. Dans une déclaration rendue publique, son coordonnateur, Pape Moctar Diop, a listé les premières raisons qui fondent cette légitimité.
Une dynamique collective
Selon lui, la Grande Coalition n’est pas le projet d’un individu mais celui de toute une communauté. Elle fédère les filles et fils de Diama autour d’une ambition commune : hisser la commune vers un développement durable.
Une richesse humaine diversifiée
La coalition s’appuie sur un vivier de compétences pluridisciplinaires : agriculteurs, éleveurs, pêcheurs, enseignants, juristes, ingénieurs, techniciens de santé ou encore universitaires. Tous unis par une même volonté, celle de transformer les potentialités locales en véritables leviers économiques et sociaux.
Une pluralité de leaderships
Contrairement aux formations centrées sur un seul leader, la Grande Coalition rassemble plus d’une vingtaine de profils capables de briguer le fauteuil de maire. Cette diversité, estime Pape Moctar Diop, est gage de stabilité et de continuité du projet collectif.
Au-delà des clivages politiques
Autre particularité : son ouverture. La coalition transcende les appartenances partisanes en regroupant aussi bien des acteurs issus de l’opposition que de la mouvance présidentielle, mais aussi des leaders communautaires. Une démarche qui, selon ses initiateurs, fait d’elle une plateforme politique unique.
Une vision claire et structurée
La coalition est la première à avoir animé le débat local autour d’un programme précis : « 4-4-2 pour le développement de la Commune de Diama », un plan structuré qui suscite déjà confiance et adhésion.
Des conseillers municipaux engagés
Elle revendique en outre la présence en son sein des conseillers municipaux les plus actifs, connus pour leurs propositions constructives et leurs critiques objectives au service du développement local.
Une politique responsable
Contrairement à certains adversaires, la coalition se targue de n’avoir jamais versé dans les attaques personnelles ni les discours de division. Son credo : un débat d’idées, digne et respectueux.
Une légitimité électorale
Les chiffres des dernières locales viennent conforter cette position : 4 271 voix, soit la deuxième place derrière le maire sortant, mais loin devant la coalition Yewwi Askan Wi (1 300 voix) et les autres listes qui n’ont pas franchi la barre des 1 000 voix.
Une structure organisée et durable
Au-delà des échéances électorales, la Grande Coalition a su maintenir sa cohésion, avec des rencontres régulières en présentiel comme en ligne, signe d’une organisation solide.
Une force politique en devenir
Enfin, selon son coordonnateur, si le maire sortant décidait de ne pas briguer un sixième mandat, la Grande Coalition s’imposerait naturellement comme la première force politique de Diama.
Et ce n’est qu’un début…
Ces dix premiers points ne sont que l’entame d’un plaidoyer en 99 raisons que la coalition promet de développer. La seconde partie mettra l’accent sur l’ancrage territorial, la confiance de la jeunesse et des femmes, la mobilisation de ressources propres et l’innovation dans la gouvernance locale.
Pour ses responsables, une chose est sûre : la Grande Coalition reste l’unique alternative crédible pour conduire la Commune de Diama vers un avenir meilleur.







